Nous avons entendu le Choral une fois encore lors des funérailles de notre père... Il fallait bien que fut jouée ce jour-là cette œuvre qui porte en elle toute la puissance d’expression de la foi en l’homme.
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Choral
1er juillet 1982, par Jacques Huybrechts -
Divertissement
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsLe Divertissement pour instruments de cuivre et batterie (1931) est une œuvre audacieuse qui exprime tout le foisonnement des sentiments forts et purs propres au compositeur.
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David
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsDevons-nous nous interroger à propos de l’épigraphe de cette composition :
"Fluctuat nec mergitur" ?
Alors, est-ce lui, Albert, ce petit pâtre, si innocent, si pur, si peu préparé à sa glorieuse destinée ? -
Horoscopes
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsUne allusion à l’univers poétique du compositeur avec ces mélodies qui nous invite à la détente...
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Deuxième quatuor à cordes
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsUne œuvre harmonieuse, composée en été, qui exprime pleinement un tel bonheur que nous ne pouvons que le partager !
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Sérénade en 3 mouvements
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsEncore une composition estivale où éclate sa joie de vivre et sa confiance en ses capacités créatrices...
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Chant d’angoisse
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsCe chant est l’expression d’une "fêlure", celle d’un trouble intérieur intense qui marque toute la personnalité du compositeur.
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Sonate
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsTant de fois entendue dès notre plus jeune âge cette composition laisse chez nous une empreinte musicale indélébile.
Aujourd’hui encore, d’emblée, dès les premières notes, nous savons qu’il s’agit d’elle .... et de lui ! -
Premier Quatuor à cordes
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsCe premier quatuor à cordes est un peu comme un tremplin...
Comme une ultime étape avant d’entrer dans la maturité ... -
Chant funèbre
1er juillet 1982, par Jacques HuybrechtsComment ne pas penser à l’évocation du souvenir d’un père tant aimé, tant admiré... à la détresse absolue qu’il dut ressentir le jour de sa mort...